297 – notes, musique

Dimanche 15 janvier

Ce matin :

puis :

et :

Cet après-midi :

– elle ne retrouve pas ses clés, appelle Stéphane,

– il doit la rejoindre pour récupérer la voiture mais l’enfant dort (comment faire ?)

– « je peux le garder si tu veux ».

Dans cette scène je voudrais réussir à créer un malaise.

Qu’on voie venir le moment où le narrateur expliquera : « Il me dérangeait, je m’en suis débarrassé. »

Seulement, je ne sais pas du tout comment faire (comment faire ?). Comment rendre ça, cette gêne. Comment retranscrire un chewing-gum qui colle et qui a un prénom.

Je pense beaucoup à Javier Marias en ce moment. Cette fois encore, pour étirer le moment de la tentation (de la spéculation) du narrateur.

Mais je le sais, il faut que je regarde ailleurs. Plutôt du côté du cinéma.

Déjà – d’office ! – reprendre le mot « gamin » pour parler de l’enfant.

Pour le clin d’œil, et la menace.

Ce soir :

,

enfin :

Beaucoup de musique mais peu de notes, me dira-t-on.

Justement, c’est bon signe.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *